jeudi 20 octobre 2011
vendredi 7 octobre 2011
Les origines du scandal, la suite...
Les spécialistes se sont très vite rendus à l'évidence, il faudrait désormais compter avec le Club des 5, au risque de devoir satisfaire systématiquement les publics venus, de prime abord, écouter des musiciens.
>> http://www.digitalvandal.fr
C'est avec le remixage d'images de cinéma et de télévision (et de tout autre Objet Audiovisuel Non-Identifié) que débute le parcours créatif du collectif, avec en parallèle les projections et mixes vidéos qui s'enchaînent en soirées DJ's et festivals. A la fin des années 90, de nombreuses musiques sortirent des caves et des forêts pour envahir les salles de spectacles encore réticentes à ouvrir leurs portes aux musiques telles que Hip-Hop, Techno, Electro, Drum&Bass, Hardcore...
Rapidement, la richesse des univers visuels propre à chaque musique nous incite à produire des images originales et adaptées, utilisant toutes les techniques et disciplines des différents membres : photo, illustration, vidéo, animation, graphisme, 3D, lumière, manipulation d'objets...
Le collectif cherche surtout à intégrer le media video dans de nouveaux espaces en pensant aussi bien la décoration que l'environnement visuel. Installation éphémère d'un univers unique où formes inattendues et nouvelles matières se transforment en supports de diffusion.
PHOTOS ::
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VIDEOS ::
>> https://vimeo.com/digitalvandal
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ACTU ::
>> https://www.facebook.com/DigitalVandal
ALCHIMIE
Cie [ta zoa]
Tout est tag, puisque tag est invention spontanée. Lâchée. Pas de bride. Fumer Babylone. C'est permis si on se le permet. C'est du dedans de tête posé au dehors et disséqué en place publique si on se le permet. Ca vire à l'obsession. Poussée d'hormones. Pas de création là-dedans. Rien que de la production. Parasite. Fourmi. Ephémère. Chargée de soi. Conscience de l'acte. Impression. Sur-auto-impression rétinienne.
Équipe de création originale :
Charles Compagnie : texte, conception, jeu
Bénédicte Alloing (DV) : création vidéo
DJ Stamiff (RK) : DJing
Ryo (RK) : création sonore
Sarah Duthille : chorégraphie Live-act (2007-2008)
François Cordonnier (RK) : régie générale
Julie Z : costumes
Équipe du Labo :
Charles Compagnie : direction artistique
Bénédicte Alloing (DV) : création vidéo
Johanna Classe : chorégraphie
Gaspard Herblot : slam, human beat-box
François Cordonnier (RK) : régie générale
Pierre Briant (DV) : lumière
LIVE ACT IN SITU
Autour d’un solo, la vidéo et le street-art lancent des ponts entre les disciplines. Performance créée en avril 2007 par la compagnie TA ZOA au sein de l'exposition 'Rien à Voir' au LEM à Lille, ALCHIMIE devient en avril 2008 un spectacle, présenté au Garage à Roubaix puis à Mains d'Oeuvre à Saint-Ouen pour le festival Vision'R et à la Péniche, à Chalon-sur-Saône. À la rencontre des graffitis-artists locaux, dans "un creuset où le geste artistique devient pierre philosophale" (Sortir).
Tout est tag, puisque tag est invention spontanée. Lâchée. Pas de bride. Fumer Babylone. C'est permis si on se le permet. C'est du dedans de tête posé au dehors et disséqué en place publique si on se le permet. Ca vire à l'obsession. Poussée d'hormones. Pas de création là-dedans. Rien que de la production. Parasite. Fourmi. Ephémère. Chargée de soi. Conscience de l'acte. Impression. Sur-auto-impression rétinienne.
Équipe de création originale :
Charles Compagnie : texte, conception, jeu
Bénédicte Alloing (DV) : création vidéo
DJ Stamiff (RK) : DJing
Ryo (RK) : création sonore
Sarah Duthille : chorégraphie Live-act (2007-2008)
François Cordonnier (RK) : régie générale
Julie Z : costumes
Équipe du Labo :
Charles Compagnie : direction artistique
Bénédicte Alloing (DV) : création vidéo
Johanna Classe : chorégraphie
Gaspard Herblot : slam, human beat-box
François Cordonnier (RK) : régie générale
Pierre Briant (DV) : lumière
LIVE ACT IN SITU
Autour d’un solo, la vidéo et le street-art lancent des ponts entre les disciplines. Performance créée en avril 2007 par la compagnie TA ZOA au sein de l'exposition 'Rien à Voir' au LEM à Lille, ALCHIMIE devient en avril 2008 un spectacle, présenté au Garage à Roubaix puis à Mains d'Oeuvre à Saint-Ouen pour le festival Vision'R et à la Péniche, à Chalon-sur-Saône. À la rencontre des graffitis-artists locaux, dans "un creuset où le geste artistique devient pierre philosophale" (Sortir).
LILI : Objet théâtral, sonore et vidéo
d'après "Le désespoir tout blanc" de Clarisse Nicoïdski
Cie I.R.E.A.L.
Conception et adaptation : Mathilde Arnaud et David Hazebroucq
Création Vidéo : Bénédicte Alloing (DV)
Création Sonore et régie Lumière : David Hazebroucq
Interprétation : Mathilde Arnaud
Costumes : Peggy H
Construction : Nicolas Coppin
Avec la participation de Sandrine Châtelain et Clothilde Monteyne
Lili, une idiote de village est l’ultime enfant de sa famille. Elle est à la fois le souffre-douleur et le témoin invisible de leurs secrets les plus intimes. Partagée entre grâce et douleur, sa sensibilité exacerbée nous entraîne de l’autre côté de son miroir déformant, dans sa vie quotidienne, pleine de couleurs, de violence et de vide, remplie de mots qui ne veulent pas sortir, seulement déborder. Texte, son et vidéo englobent Lili et nous font entrer dans son univers sensoriel posant la question de l’anormalité comme richesse à écouter. Ils seront travaillés comme des entités autonomes, mais néanmoins indispensables l’un à l’autre pour faire entrer le spectateur dans l’univers, le corps, le cerveau de Lili.
Cie I.R.E.A.L.
Conception et adaptation : Mathilde Arnaud et David Hazebroucq
Création Vidéo : Bénédicte Alloing (DV)
Création Sonore et régie Lumière : David Hazebroucq
Interprétation : Mathilde Arnaud
Costumes : Peggy H
Construction : Nicolas Coppin
Avec la participation de Sandrine Châtelain et Clothilde Monteyne
Lili, une idiote de village est l’ultime enfant de sa famille. Elle est à la fois le souffre-douleur et le témoin invisible de leurs secrets les plus intimes. Partagée entre grâce et douleur, sa sensibilité exacerbée nous entraîne de l’autre côté de son miroir déformant, dans sa vie quotidienne, pleine de couleurs, de violence et de vide, remplie de mots qui ne veulent pas sortir, seulement déborder. Texte, son et vidéo englobent Lili et nous font entrer dans son univers sensoriel posant la question de l’anormalité comme richesse à écouter. Ils seront travaillés comme des entités autonomes, mais néanmoins indispensables l’un à l’autre pour faire entrer le spectateur dans l’univers, le corps, le cerveau de Lili.
jeudi 6 octobre 2011
VIDEO KILL GUITAR
Performance Audio-Video (Muzzix / DV)
Duo schizo-noise entre des images/sons mouvementées de gestes guitaristiques bruitistes et le guitariste responsable de cette accélération du silence.
Bruit : David Bausseron
Image : Benoît Hénon (DV)
Tournage : Seb Olivier (DV)
>>>>> http://muzzix.info/Video-Kill-Guitar
Duo schizo-noise entre des images/sons mouvementées de gestes guitaristiques bruitistes et le guitariste responsable de cette accélération du silence.
Bruit : David Bausseron
Image : Benoît Hénon (DV)
Tournage : Seb Olivier (DV)
>>>>> http://muzzix.info/Video-Kill-Guitar
Libellés :
création,
Vidéo Kill Guitar
Projections sur façade
Festival Panorama (Morlaix - avril 2011)
Habillage visuel du site
Soirée d'inauguration des nouveaux locaux de Manganelli.
Libellés :
Monumental
BIRDY NAM NAM
2006 : Quand un créateur lumière (Maxime Lepers) réunit Birdy Nam Nam et Digital Vandal...
ALL PICS HERE :
http://www.digitalvandal.fr/portfolio/birdy-nam-nam/
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Libellés :
Birdy Nam Nam,
vjing
CLARA 69
de Gildas Milin
Texte édité chez Actes-Sud Papiers
Cie [ta zoa]
« Au mitard de Fleury-Mérogis, le 1er janvier 1995.
Une cellule inondée, un sommier, un matelas, pas de fenêtre, pas de draps, un wc.
Clara en chemise, les jambes nues.
Elle se tord de douleur. »
DISTRIBUTION
Mise en scène : Charles Compagnie
Avec : Julia Ragain
Vidéo : Bénédicte Alloing / Sébastien Olivier (Digital Vandal)
Environnement sonore : Ryo (Radikal Kroonerz)
Regard chorégraphique : Johanna Classe
LE SPECTACLE
Clara 69 nous trace le portrait d'une jeune femme emprisonnée. Son monologue nous décrit la vie en prison, les circonstances de son arrestation, l'enchaînement des événements qui l'ont conduite jusque là. Ses mots nous laissent aussi entrevoir une folie contenue.
Une pièce qui questionne l'incarcération, un personnage seul, au destin tragique, mais dressé vers les cieux comme pour nous pointer la déchéance de l'humain.
Clara 69 est un spectacle sobre et percutant. La parole y est parfois à la limite du chuchotement. Le lyrisme et la danse permettent de s'extraire un temps de cette pression, mais ce sera pour plonger plus profond encore.
Texte édité chez Actes-Sud Papiers
Cie [ta zoa]
« Au mitard de Fleury-Mérogis, le 1er janvier 1995.
Une cellule inondée, un sommier, un matelas, pas de fenêtre, pas de draps, un wc.
Clara en chemise, les jambes nues.
Elle se tord de douleur. »
DISTRIBUTION
Mise en scène : Charles Compagnie
Avec : Julia Ragain
Vidéo : Bénédicte Alloing / Sébastien Olivier (Digital Vandal)
Environnement sonore : Ryo (Radikal Kroonerz)
Regard chorégraphique : Johanna Classe
LE SPECTACLE
Clara 69 nous trace le portrait d'une jeune femme emprisonnée. Son monologue nous décrit la vie en prison, les circonstances de son arrestation, l'enchaînement des événements qui l'ont conduite jusque là. Ses mots nous laissent aussi entrevoir une folie contenue.
Une pièce qui questionne l'incarcération, un personnage seul, au destin tragique, mais dressé vers les cieux comme pour nous pointer la déchéance de l'humain.
Clara 69 est un spectacle sobre et percutant. La parole y est parfois à la limite du chuchotement. Le lyrisme et la danse permettent de s'extraire un temps de cette pression, mais ce sera pour plonger plus profond encore.
Davaï Davaï
de Brahim Bouchelaghem / Top 9
Saint-Pétersbourg et ses journées infinies d’été ont ouvert tous les horizons à une rencontre sensible mais aussi culturelle et artistique entre Brahim Bouchelaghem et les champions du monde russes du Battle of the year 2008, les Top 9. Le chorégraphe emmène les danseurs du show à la poésie, de la pure performance à l’expression personnelle. Des images de vies défilent : de l’ivresse d’une bouteille lumineuse à la préparation quasi mystique d’un Battle. Derrière ces expériences, l’impression de marcher sur de la glace et la nécessité de toujours se relever après la chute. Ces émotions, émaillées de silence, ils apprennent à les transmettre, parfois avec un simple regard. « Une métamorphose artistique pour ceux qui les connaissent », confie Brahim Bouchelaghem dont le défi est de les aider à tracer le chemin jusqu’à eux mêmes.
Scénographie
Pierre Briant (DV)
Vidéo
Bénédicte Alloing (DV)
Pierre Briant (DV)
Saint-Pétersbourg et ses journées infinies d’été ont ouvert tous les horizons à une rencontre sensible mais aussi culturelle et artistique entre Brahim Bouchelaghem et les champions du monde russes du Battle of the year 2008, les Top 9. Le chorégraphe emmène les danseurs du show à la poésie, de la pure performance à l’expression personnelle. Des images de vies défilent : de l’ivresse d’une bouteille lumineuse à la préparation quasi mystique d’un Battle. Derrière ces expériences, l’impression de marcher sur de la glace et la nécessité de toujours se relever après la chute. Ces émotions, émaillées de silence, ils apprennent à les transmettre, parfois avec un simple regard. « Une métamorphose artistique pour ceux qui les connaissent », confie Brahim Bouchelaghem dont le défi est de les aider à tracer le chemin jusqu’à eux mêmes.
Scénographie
Pierre Briant (DV)
Vidéo
Bénédicte Alloing (DV)
Pierre Briant (DV)
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théâtre
Ceci n'est pas un banc !
-2006- Installation video
dans le cadre de l'expo SKATE* / Beautiful Losers - Tripostal - Lille
Des écrans de tulle descendent devant les modules urbains de Moving Units. Projection de scénettes videos, réalistes ou improbables, préalablement tournées par les collectifs Digital Vandal et Cliché Skateboard (Lyon). Ces séquences vidéos montrent la multiplicité des fonctions effectives du mobilier urbain, et offrent également un propos poétique et onirique sur la rencontre fortuite dans les espaces publics.
making of SKATE* from digital vandal on Vimeo.
dans le cadre de l'expo SKATE* / Beautiful Losers - Tripostal - Lille
Des écrans de tulle descendent devant les modules urbains de Moving Units. Projection de scénettes videos, réalistes ou improbables, préalablement tournées par les collectifs Digital Vandal et Cliché Skateboard (Lyon). Ces séquences vidéos montrent la multiplicité des fonctions effectives du mobilier urbain, et offrent également un propos poétique et onirique sur la rencontre fortuite dans les espaces publics.
making of SKATE* from digital vandal on Vimeo.
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ROUBAIX'S BURNING
Les murs de la Cave aux Poètes étant devenus trop étroits pour accueillir le public toujours plus nombreux des soirées Roubaix's Burning, c'est la Salle Watremez qui est transformée par Digital Vandal pour 4 éditions qui ont surchauffé.!
ALL PICS HERE ::
http://www.myspace.com/digital_vandal/RBX
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